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samedi 22 octobre 2016

Voyous, mafias et terroristes islamistes

La stratégie des terroristes islamistes c'est de créer le chaos et de fomenter des révolutions.

Une organisation révolutionnaire a besoin du soutien du peuple. 

Une organisation mafieuse, c'est le régime totalitaire. 

La plupart des organisations révolutionnaires ont recours, dans leur jeunesse, aux organisations mafieuses et deviennent donc des dictatures démocratiques.

mardi 18 octobre 2016

Ce que j'aime dans un film


Ce que j'aime dans un film : me sentir dépassé, avec admiration. 

Etre plongé dans un univers autre qui me porte vers le haut. 

On peut se sentir dépassé par quantités de films pour des raisons qui n'ont rien à voir avec l'art cinématographique, mais l'admiration est un sentiment de proximité respectueuse teinté d'affect. 

Ça ne veut pas dire que je n'aime que les films "glorieux": je suis fasciné aussi par Dr Mabuse.

lundi 17 octobre 2016

Mitterand, l'idole des socialistes


Mitterand, le fossoyeur cynique de la France, avait la tête de l'emploi. 

C'était "la force tranquille" creusant la tombe de la France rurale.

Il a institué le "jouir sans entraves" pendant que la France industrielle se mourait.

Il a favorisé, à des fins politiques, l'essor du FN, et donc le développement même des menaces aboyées par Le Pen.

Il a trouvé dans la construction européenne une planche de salut (pour prolonger de quelques années le répit accordé par son cancer) alors qu'il ne savait pas comment rétablir la France en santé.

Bien entendu, je ne suis pas pour autant pour la droite, mais la critique a toujours été pour moi plus évidente contre la droite.

Ce qui m'effraie, c'est que Flamby poursuit les funérailles de son modèle...

Attentats et émotion

Face à l'adversité, les nations ne réagissent pas de la même façon.
Pour moi, les Français sont trop dans l'émotion. En ce genre de circonstances, je préfère le flegme et le pragmatisme britannique. Il épuise moins le courage et est plus approprié à la bataille. Dans le sport, comme dans la guerre, les Français ont du cœur mais sont trop soumis à leurs émotions. Cela leur joue des tours. Et est contre-productif. 
Les Britanniques n'ont pas moins de cœur mais ils sont moins débordés. Ils n'ont pas besoin d'en faire montre. Ils font moins les coqs, dramatisent moins, s'énervent moins. 
Pourquoi cela me gêne ? Parce que cela peut entraîner une sorte de guerre civile.

"Le fils de Saul" de László Nemes (2015)

Je viens de voir ce film, plusieurs mois après sa sortie et son accueil unanimement élogieux dans la sphère culturelle bien-pensante française.

Paradoxalement, les athées et agnostiques de notre pays laïc se rassemblent autour du totem de la Shoah pour encenser ce film, qui intègre le tabou de la représentation (comme les pires intégristes iconoclastes) et pervertit l'aspiration vitale au sacré en une obsession insensée et mortifère du rituel. 
La quête du héros est postmoderne : individualiste, obsessionnelle, autiste, glaciale. 
Imaginons deux secondes qu'on ait la même histoire avec un déporté rom catholique qui ne pense qu'à faire bénir son fils mort...

"Laisse les morts ensevelir leurs morts" a dit Jésus. La seule remarque intéressante du film est d'ailleurs quand le "héros" dit à un autre Sonderkommando qu'ils sont morts, déjà. 

Le fils de Saul est un produit haut de gamme de la culture de mort.