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samedi 24 décembre 2016

Noël, objet d'histoire

Au IIIe siècle, aux chrétiens qui voulaient fêter la naissance du Christ, Origène, Père de l’Église, objecte encore qu’il s’agit d’une coutume païenne.

Noël s’installe au cours du IVe siècle. 

(…) le choix de la date du 25 décembre ne répond pas à la préoccupation de neutraliser une fête païenne, celle du Sol Invictus romain, mais plutôt au souci de profiter du symbolisme cosmique. Le solstice devient le jour où naît le « vrai » soleil de justice identifié au Christ (…)

La première crèche installée à l’intérieur d’un sanctuaire serait celle de l’église des jésuites de Prague, datant de 1562. En France, il faut attendre le XVIIe siècle pour que cette pratique se développe, sous l’influence de l’Oratoire et de sa spiritualité de l’enfance (…)

La fête donne lieu à des débordements jusqu’au XVIIe siècle. Entre le 25 décembre et le 6 janvier, les codes étaient bousculés, inversés, avec les jeux et défilés, les fêtes de l’âne ou des fous ou cette curieuse fête de l’évêque des Innocents, le 28 décembre, où un enfant déguisé en évêque menait l’office (…)

Au Moyen Âge et sous l’Ancien Régime, les monarques s’identifient à l’Enfant-Roi ou aux mages de la crèche, qui deviennent opportunément des « rois » mages. C’est à Noël que Clovis reçoit le baptême. À Noël, que Charlemagne se fait couronner en l’an 800.

(…) le totalitarisme hitlérien qui cherche à gommer l’aspect chrétien de la fête.

(Extrait d'un article de La Croix, 22/12/16 à propos du livre "Noël, une si longue histoire" d'Alain Cabantous et François Walter.)

lundi 12 décembre 2016

"Only lovers left alive" de Jim Jarmusch (2013)

Déjà, le casting. Ça dit beaucoup. Je déteste Tilda Swinton. Elle est raide, ne sait pas quoi faire de ses bras quand elle marche, les laisse ballants le long de son corps sans forme. Elle n'est ni dans son corps, ni avec les autres (aucune empathie). Elle est en-dehors. Pour une comédienne, c'est un souci. En plus, elle a un coté snob, mais c'est pas ça qui me gêne (c'est pour ça que Jarmusch a dû la choisir en revanche).

Cette artificialité, on la retrouve dans :

- la musique : elle fait penser à celle de Neil Young de Dead Man. Guitare, rock, planant. Il y a 20 ans, c'était original. Pourquoi réitérer ? On dirait une recette.

- le scénario : c'est une bonne idée à la base, ces immortels vampires, Adam et Eve… Mais les références aux grands hommes/femmes de l'histoire qu'ils ont croisés m'ont parues artificielles. Là aussi, un côté un peu snob, et avec une pointe d'humour (Dr Strangelove, Dr Faust, Dr Caligari…), mais ça ne fonctionne plus comme le William Blake de Dead Man. Et puis, encore une fois, même si je n'aime pas Johnny Depp, lui aussi la plupart du temps superficiel, il était plus sympathique que Swinton.

- les personnages principaux : super agaçants. Ils tournent en rond (comme le vinyl du générique). On se fait un trip sanguin de temps en temps… Je sais, c'est probablement voulu.
Mais étant donnée l'idée de base assez ambitieuse (immortalité, Adam et Eve etc…), si c'est pour arriver à ça…  
Et pourquoi ces clichés ? 
Lui, soi disant la musique (à la technicos), elle, la littérature (les bouquins, elle les caresse… sans aucune sensualité)… 
Elle blanche, lui black. 
Elle l'Orient, lui l'Occident.  
Sans parler de leur côté androgyne, ou plutôt asexué avec une tendance à surtout féminiser le gars comme dans les pubs Calvin Klein : c'est ringard… 

Leur façon de danser avant l'amour est pathétique de banalité : j'avais honte pour eux. Swinton est en grande partie responsable…

Bref, quand on est un réalisateur vieux et doué, il vaut mieux parfois s'arrêter… Sinon, on tente les vielles recettes. Jarmusch, c'est le côté dark nonchalant petit doigt levé, Scorsese,  c'est le côté rock-coke-fight ("Vinyl" était aussi pathétique).

"La sacralisation de la monarchie française n'a pas d'équivalent en Europe"

Extrait d'un entretien du journal La Croix (26-27 novembre) avec Alain Tallon, Directeur de l'UFR d'histoire à la Sorbonne, spécialiste d'histoire religieuse

Comment caractériser l’empreinte du christianisme dans notre histoire ?
C’est vrai depuis le Moyen Âge. La sacralisation de la monarchie française n’a pas d’équivalent en Europe (…) Alors que la monarchie espagnole, depuis le Moyen Âge, est profondément laïque : le roi n’est pas sacré.

La sacralisation du pouvoir est-elle une particularité française  ?
Absolument, sur le mode chrétien (…) Le modèle de Charlemagne a fait rêver tous les souverains français. C’est pourquoi Henri IV a voulu se réconcilier avec Rome, au lieu de créer une Église nationale sur le modèle anglais (…) Rome assure à la monarchie française ses prétentions à l’universalité. La monarchie française se sent l’héritière légitime de Rome par le fait que le roi est le premier des rois chrétiens. Et donc toutes les prétentions universalistes de la France, qu’elles soient politiques, militaires, intellectuelles, s’appuient sur l’idée selon laquelle la France, comme premier royaume chrétien, reçoit l’héritage universel de Rome. Cela explique notre goût partagé, jusqu’aux laïques, pour l’universalisme (…)

Plus tard, lors des conflits opposant le pape et l’empereur, la monarchie française soutient la papauté face au pouvoir impérial. C’est l’un des éléments importants de la construction de la monarchie française. Au XIVe et au XVe siècle, la resacralisation de la monarchie a été un moyen de reconstruction politique. L’épisode de Jeanne d’Arc en a été l’un des éléments, qui s’est poursuivi à la Renaissance, avec un roi qui, comme François Ier, se fait représenter en 1518 par Jean Clouet en saint Jean Baptiste… Les ambassadeurs anglais racontent qu’ils ont été reçus par le roi, vêtu en Christ ! C’est tout à fait stupéfiant…

jeudi 10 novembre 2016

Paul Ricœur, Jacques Ellul et le pape François contre le Moloch Technologique

Paul Ricœur, «Prévision économique et choix éthique», (in Esprit, Paris 1966) :

Il ne faut pas séparer le progrès technique du mécontentement et de la révolte, dont notre littérature et nos arts portent témoignage. Comprendre notre temps, c’est mettre ensemble, en prise directe, les deux phénomènes : le progrès de la rationalité et ce que j’appellerais volontiers le recul du sens. [...] Nous touchons ici au caractère d’insignifiance qui s’attache à un projet simplement instrumental. En entrant dans le monde de la planification et de la prospective, nous développons une intelligence des moyens, une intelligence de l’instrumentalité – c’est vraiment là qu’il y a progrès – mais en même temps, nous assistons à une sorte d’effacement, de dissolution des buts. L’absence croissante de buts dans une société qui augmente ses moyens est certainement la source profonde de notre mécontentement. Au moment où prolifèrent le maniable et le disponible, à mesure que sont satisfaits les besoins élémentaires de nourriture, de logement, de loisir, nous entrons dans un monde du caprice, de l’arbitraire, dans ce que j’appellerais volontiers le monde du geste quelconque. Nous découvrons que ce dont manquent le plus les hommes, c’est de justice, certes, d’amour sûrement, mais plus encore de signification. L’insignifiance du travail, l’insignifiance du loisir, l’insignifiance de la sexualité, voilà les problèmes sur lesquels nous débouchons (…)

Se soustraire à la fascination de la puissance, habiter ce monde sans le dominer, renouer une relation fraternelle aux êtres dans une sorte d’amitié franciscaine pour la création, retrouver le gracieux, le gracié, l’imprévu, l’inouï ; c’est ici que la communion des saints prend son sens.

(Extrait d'un article de la revue Choisir : https://www.choisir.ch)

samedi 22 octobre 2016

Voyous, mafias et terroristes islamistes

La stratégie des terroristes islamistes c'est de créer le chaos et de fomenter des révolutions.

Une organisation révolutionnaire a besoin du soutien du peuple. 

Une organisation mafieuse, c'est le régime totalitaire. 

La plupart des organisations révolutionnaires ont recours, dans leur jeunesse, aux organisations mafieuses et deviennent donc des dictatures démocratiques.

mardi 18 octobre 2016

Ce que j'aime dans un film


Ce que j'aime dans un film : me sentir dépassé, avec admiration. 

Etre plongé dans un univers autre qui me porte vers le haut. 

On peut se sentir dépassé par quantités de films pour des raisons qui n'ont rien à voir avec l'art cinématographique, mais l'admiration est un sentiment de proximité respectueuse teinté d'affect. 

Ça ne veut pas dire que je n'aime que les films "glorieux": je suis fasciné aussi par Dr Mabuse.

lundi 17 octobre 2016

Mitterand, l'idole des socialistes


Mitterand, le fossoyeur cynique de la France, avait la tête de l'emploi. 

C'était "la force tranquille" creusant la tombe de la France rurale.

Il a institué le "jouir sans entraves" pendant que la France industrielle se mourait.

Il a favorisé, à des fins politiques, l'essor du FN, et donc le développement même des menaces aboyées par Le Pen.

Il a trouvé dans la construction européenne une planche de salut (pour prolonger de quelques années le répit accordé par son cancer) alors qu'il ne savait pas comment rétablir la France en santé.

Bien entendu, je ne suis pas pour autant pour la droite, mais la critique a toujours été pour moi plus évidente contre la droite.

Ce qui m'effraie, c'est que Flamby poursuit les funérailles de son modèle...

Attentats et émotion

Face à l'adversité, les nations ne réagissent pas de la même façon.
Pour moi, les Français sont trop dans l'émotion. En ce genre de circonstances, je préfère le flegme et le pragmatisme britannique. Il épuise moins le courage et est plus approprié à la bataille. Dans le sport, comme dans la guerre, les Français ont du cœur mais sont trop soumis à leurs émotions. Cela leur joue des tours. Et est contre-productif. 
Les Britanniques n'ont pas moins de cœur mais ils sont moins débordés. Ils n'ont pas besoin d'en faire montre. Ils font moins les coqs, dramatisent moins, s'énervent moins. 
Pourquoi cela me gêne ? Parce que cela peut entraîner une sorte de guerre civile.

"Le fils de Saul" de László Nemes (2015)

Je viens de voir ce film, plusieurs mois après sa sortie et son accueil unanimement élogieux dans la sphère culturelle bien-pensante française.

Paradoxalement, les athées et agnostiques de notre pays laïc se rassemblent autour du totem de la Shoah pour encenser ce film, qui intègre le tabou de la représentation (comme les pires intégristes iconoclastes) et pervertit l'aspiration vitale au sacré en une obsession insensée et mortifère du rituel. 
La quête du héros est postmoderne : individualiste, obsessionnelle, autiste, glaciale. 
Imaginons deux secondes qu'on ait la même histoire avec un déporté rom catholique qui ne pense qu'à faire bénir son fils mort...

"Laisse les morts ensevelir leurs morts" a dit Jésus. La seule remarque intéressante du film est d'ailleurs quand le "héros" dit à un autre Sonderkommando qu'ils sont morts, déjà. 

Le fils de Saul est un produit haut de gamme de la culture de mort. 

dimanche 18 septembre 2016

Quelques citations glanées


« C’est la parole de Dieu qui active cette intelligence parce qu’elle nous fait davantage aimer et découvrir l’autre ou les problèmes de la vie comme des occasions d’aimer. »
(Tommy Scholtes, « Prions en Eglise, octobre 2006)

"… donner, c’est s’abandonner, faire confiance. C’est laisser échapper de son cœur la puissance de l’amour que le Seigneur veut manifester à l’humanité."
(Père Luc Fritz, in « Prions en Eglise », novembre 2006)

"C’est ici qu’il faut reprendre avec la vraie nature de l’affection. Elle n’est pas pour que l’on soit heureux ensemble, mais pour que l’on soit plus ensemble. C’est la loi du plus de la croissance spirituelle et de la vérité qui fait mal, le sacrifice qui fait mal, la lutte qui fait mal […] Ce qui est grand, c’est le désir de s’aimer et la lutte pour l’amour."
(Emmanuel Mounier)

"J’attends trop de l’autre. L’autre doit être aimable. L’autre doit m’élever jusqu’aux nues, doit me porter sur les bras, ne doit pas se fâcher, ne doit pas me faire de reproches. Au moindre désenchantement je me sens blessé dans mon amour. Nous pensons trop peu ou presque jamais à ce que nous pouvons donner et faire pour l’autre. Ne dis pas trop vite : « Tu ne m’aimes pas ! » Aussi longtemps que toi-même tu n’as pas tout donné."
(Phil Bosmans)

"Tous ceux qui aiment sont enfants de Dieu, et ils connaissent Dieu. Celui qui n'aime pas ne connaît pas Dieu, car Dieu est amour."
(Première Lettre de saint Paul apôtre, 4, 8)

"Frères, tous ceux qui se laissent conduire par l'Esprit de Dieu, ceux-là sont fils de Dieu".
(Lettre de saint Paul Apôtre aux Romains, 8, 14)

"Le Père est la source, le Fils est le fleuve qui transmet l'eau, et nous buvons l'Esprit."
(Saint Athanase d'Alexandrie, IVè siècle)

"Homme, le Seigneur t'a fait savoir ce qui est bien, ce qu'il réclame de toi : rien d'autre que pratiquer la justice, aimer la miséricorde, et marcher humblement avec ton Dieu."
(Livre de Michée, 6, 8)

"Il donne mission à ses anges 
De te garder sur tous tes chemins."
(Psaume 90)
"Rappelons que, traditionnellement, le psaume 90 est chanté à l'office des complies (au moment d'entrer dans le repos de la nuit), comme une invitation à nous établir dans la confiance." 
(Prions en Eglise, octobre 2006)

« Il n’a pas à recommencer plusieurs fois son sacrifice, comme le grand prêtre qui, tous les ans, entrait dans le sanctuaire en offrant un sang qui n'était pas le sien ; car alors, le Christ aurait dû plusieurs fois souffrir la passion depuis le commencement du monde. Mais c’est une fois pour toutes, au temps de l’accomplissement, qu’il s’est manifesté pour détruire le péché par son sacrifice (…) Quand le pardon est accordé, on n’offre plus le sacrifice pour les péchés  »
(Lettre de Saint-Paul aux Hébreux, 9,25-26 et 10, 18)

lundi 7 mars 2016

Evangile selon saint Jean (5, 28-30)

"Car le Père ne juge personne : 
il a donné au Fils tout pouvoir pour juger, 
afin que tous honorent le Fils comme ils honorent le Père. 

Celui qui ne rend pas honneur au Fils 
ne rend pas non plus honneur au Père, qui l’a envoyé.
Amen, amen, je vous dis : 
celui qui écoute ma parole 
et croit au Père qui m’a envoyé, 
celui-là obtient la vie éternelle 
et il échappe au jugement, 
car il est déjà passé de la mort à la vie."

samedi 5 mars 2016

Petits choix et petits miracles

"Souvent, comme les serviteurs des noces de Cana, nous aimerions que Jésus nous dise ce que nous avons à faire. 
Quels gestes accomplir, quels choix opérer, quelles paroles prononcer pour voir, sous nos yeux, les eaux troubles de notre quotidien se transformer en vin de fête ?

Quel petit – oh, tout petit ! – miracle tenter de réaliser chaque jour, en nous et autour de nous, pour que le monde aille un peu mieux et qu’advienne le Royaume…

La foi nous invite, encore et toujours, à chercher quelle et notre « vocation » : celle qui, certes, engage les grandes décisions de l’existence, mais celle aussi qui chaque matin, nous invite à répondre au mieux, devant la journée qui s’annonce, à l’appel du Christ.
C’est en effet dans la multitude des petits choix qui parsèment notre journée – et où nous acceptons de nous donner ou au contraire de nous dérober – que peut se faire la miraculeuse transformation des eaux de nos « déluges », l’eau tempétueuse de nos « mers intérieures » en vin joyeux de la Pâque et de la Résurrection. 

Que vais-je faire, Seigneur, de ce jour (en couple, en famille, en communauté, au travail), pour que, par mes mains, mes gestes et ma parole, tu accomplisses ton miracle ?"(Bertrand Révillion, diacre, « Prions en Eglise », Janvier 2004)

Le jeûne selon le prophète Isaïe

Est-ce là le jeûne qui me plaît ? 
Est-ce là votre jour de pénitence ? 
Courber la tête comme un roseau, 
coucher sur le sac et la cendre, 
appelles-tu cela un jeûne, 
un jour bien accueilli par le Seigneur ?

Quel est donc le jeûne qui me plaît ? 

N’est-ce pas faire tomber les chaînes injustes, 
délier les attaches du joug, 
rendre la liberté aux opprimés, 
briser tous les jougs ? 

N’est-ce pas partager ton pain avec celui qui a faim, 
recueillir chez toi le malheureux sans abri, 
couvrir celui que tu verras sans vêtement, 
ne pas te dérober à ton semblable ?


Alors ta lumière jaillira comme l’aurore, 
et tes forces reviendront rapidement. 
Ta justice marchera devant toi, 
et la gloire du Seigneur t’accompagnera. 
Alors, si tu appelles, le Seigneur répondra ; 
si tu cries, il dira : « Me voici ».
(Isaïe, 58, 5-9a)

lundi 1 février 2016

Message de Jean-Paul II aux familles (septembre 1996, sainte-Anne d'Auray)

L'exemple quotidien de couples unis nourrit chez les jeunes le désir de les imiter. Les jeunes, en recevant dans leur famille le témoignage de l'amour de Dieu, seront conduits à en découvrir les profondeurs.

Que votre vie rayonne, car au fond de votre coeur le Seigneur est présent; il vous aime et il vous appelle à sa joie! C'est bien le fait de se savoir aimé qui permet d'avancer sur la route avec confiance. La vie des baptisés consiste tout d'abord à être relié au Christ, source de la vie, à recevoir de Lui la vie en abondance et à en devenir les témoins. 

La vie conjugale passe aussi par l'expérience du pardon ; car, que serait un amour qui n'irait pas jusqu'au pardon ?
Cette forme la plus haute de l'union engage tout l'être qui, par volonté et par amour, accepte de ne pas s'arrêter à l'offense et de croire qu'un avenir est toujours possible. Le pardon est une forme éminente du don, qui affirme la dignité de l'autre en le reconnaissant pour ce qu'il est, au-delà de ce qu'il fait. Toute personne qui pardonne permet aussi à celui qui est pardonné de découvrir la grandeur infinie du pardon de Dieu.

Vous, les jeunes (…) Comme vos parents, vous êtes responsables de la vie en famille et de l'existence d'un climat de plus en plus pacifié, qui laisse à chacun assez d'espace pour donner le meilleur de lui-même et pour épanouir sa personnalité.